Cellulose…

Les vacances sont déjà finies mais l'objectif a été rempli : Isoler la maison et avancer le bardage.

Pour l'isolation nous avons choisi d'utiliser de la ouate de cellulose, insuflée dans les murs exterieurs et les rampants, ainsi que dans les murs porteurs intérieurs. Les plafonds suspendu seront aussi isolés avec de la cellulose en vrac mais soufflée cette fois-ci. Les cloisons intérieures seront isolées avec des panneaux (chanvre ou fibre de bois, on est pas encore fixé).

Nous avons choisi la cellulose Thermofloc.

Avant de pouvoir souffler toute cette cellulose dans les murs et les rampants, il faut poser soigneusement un frein-vapeur armé sur toute la surface et clouer les liteaux qui supporteront le parement par dessus et mainteindront le frein-vapeur pendant l'insuflation. J'avais sous-estimé le temps que nous prendrai cette phase de préparation …

Heureusement, le beau-père, le frère, le tonton étaient là (en vacances) et on a pu avancer. Mais lorsque la machine est arrivée le mercredi matin, nous n'avions pas terminé de tout poser.

Le récit d'une dure semaine en image :

 

Il me restait des caissons de rampants à finir : doublage de tous les chevrons

 

Boby à la découpe et en pleine intervention chirurgicale sur la scie radiale

   

La pose du frein-vapeur : travail long et fastidieux. Heureusement
il y avait du monde pour m'aider. Le cousin venu à l'improviste s'est
fait embauché le temps d'une journée, tout comme tonton Sergio, JP,
Frérot, Fred, en vacances mais embauchés également. Et un grand merci à
Boby pour son aide précieuse.

Il faut poser le frein-vapeur de
manière continue, la plus étanche possible, agrafer et coller les lés
sur les montants, scotcher, tendre au maximum pour éviter les ventres
lors de l'insuflation. On a réussi.

        

une fois que tout est posé on peut clouer les liteaux :

  

 

Le mercredi matin c'est la livraison des sac de cellulose : on empile à l'exterieur et à l'intérieur. 11 palettes, ça fait du volume

    

Dans la foulée, la machine arrive et c'est parti pour les explications sur le reglage de la machine (réglage des densités d'insufflation) et démonstration de l'insuflation.
On fait une eprouvette test que l'on pèse

     

Et c'est parti pour la démonstration et mon premier caisson sous l'oeil attentif du technicien 

   

Il faut alimenter la machine en continu, ce qui nécessite une personne constament dessus, à vider les sacs. La dream-team et le frérot à la manoeuvre, sous l'oeil du chien de chantier attentif :

  

Le pain de cellulose compacté avant d'être avalé

 

  

Pendant ce temps le boss enchaine les caissons dans toutes les positions, après avoir contrôlé que tout est bien agrafé, scotché et cloué.

      

Perché en haut de l'echafaudage je suis quand même pas trop à l'aise.. 

Mine de rien on s'en prend plein la figure et on en met un peu partout. On récupère alors le plus gros pour le refaire passer dans la machine :

   

Mais la cellulose ne gratte pas, n'agresse pas les narines, n'irrite pas, c'est plutôt sympa à travailler même si ça fait un peu de poussière.

Enfin un petite pause bien méritée après de bonnes journées de travail

 

 

2 commentaires.

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  2. y en a marre …même pas un os à ronger…
    vivement les vraies vacances
    le chien de chantier (roocky)

Commentaires clos.